Chapitre 12: Emprisonnés dans le quatrième élément

La lune, la lune … elle est verte !

Je me frotte les yeux plusieurs fois pour voir si je n’hallucine pas. Mais non elle est bel et bien verte !

Comment est-ce possible ?!

Je n’en sais trop rien.  Je vois alors un point rouge apparaître et flotter dans le vide entre deux arbres.
Elle m’hypnotise, je me rapproche de cette lumière, qui devient de plus en plus aveuglante, mais je me sens bien tout d’un coup, cette lumière m’attire. C’est inexplicable mais je dois aller vers elle, je m’en sens obligé.

Je fais des pas de plus en plus grand et je m’en rapproche de plus en plus. Maintenant elle n’est plus qu’à quelques centimètres de moi, elle grossit à chaque pas que je fais afin de former une énorme boule rouge, semblable à une boule de feu.

Je touche cette boule.

Aïe ! Elle est brulante. Elle arrête de grossir, je reste figé devant cet amas de feu.

C’est alors que j’aperçois debout au beau milieu de la boule, Monsieur Madoc et ma voisine.

Ils ont les yeux fermés mais je sens très bien qu’ils ne sont pas morts, juste profondément endormis, ma voisine ne comporte aucune trace de balles et Monsieur Madoc n’a lui non plus aucun coup de couteau.

C’est très bizarre, est-ce vraiment eux ? Ils sont censés être morts !
C’est alors qu’un flash blanc apparait et que la boule de feu disparait d’un coup.

Je suis donc là, tout seul en pleine nuit, dans ce champ, sur le lieu ORIGINEL.                                                                                         J’entends le silence de la nuit, la lune a repris sa couleur normale.
J’ai froid, j’ai peur. Ce lieu est très lugubre, très étrange !

Je sors précipitamment du champ et me dirige chez moi en courant.
J’arrive chez moi et me rend compte que le corps de ma voisine n’est plus là, sans doute que quelqu’un a appelé les secours et voyant qu’elle était morte, l’ont transporté à la morgue.

Je tourne les clés dans la serrure, ouvre la porte et monte directement dans ma chambre.

Je regarde l’horloge, il est 23h07, je suis exténué, il faut que je me repose.

C’est en me couchant sur mon lit et en me mettant sous la couette que je vois qu’un post-it est collé sur mon armoire.

Qui l’a mis là ? Je me lève et le lis, il y est écrit : « Je sais tout ! ». Je n’en reviens pas.

A suivre …

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